On ne peut qu'éprouver compassion et pitié face à ces milliers de réfugiés qui se pressent aux portes de l'Europe.
Et dans le même temps, on ne peut s'empêcher de s'interroger sur ces hommes, jeunes et vigoureux, qui fuient seuls, laissant derrière eux des familles fragilisées, vulnérables... et sans défense.
Difficile également de ne pas associer cet afflux de migrants à la menace que proférait Daesh en février dernier : envoyer 500 000 migrants en Europe afin de s'en servir comme une arme psychologique contre l'Europe.
En mettant à mal la solidarité européenne, Daesh n'a-t-il pas déjà remporté une première victoire ?
DML
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